L’évolution social qui s’est opérée au Maroc dans les années 1940 a permis à bon nombre de femmes d’accéder progressivement à l’espace public essentiellement réserve aux hommes employées ouvrières personnels de maison ou opérant des petites activités dans un secteur informel la création de petites <<entreprise>> gérées par des femmes témoigne de l’esprit d’entreprenariat encoure au stade embryonnaire à l’époque.
Des femmes commerçantes des chanteuses (orchestra féminins),
des marieuse sont organisées en coopérations structurées avec une mallera des
employez et des apprenties. ces coopérative sont gérées par un code de conduite
transmis d’une génération à une autre.
Ces femmes relais
conseillères reliant l’espace public au privé vont permettre aux harems d’exister
et vont contribuer à leur ouverture sur le monde extérieur. Leur liberté
demeure certes conditionnée par leur maitrise des normes sociales, ce qui leur
permet de traverser les frontières des sexes et de la génération.
L’ouverture sur l’économie capitaliste, la scolarisation es filles,
ont contribué à la déstructuration de ce mini entreprenariat féminin
traditionnel et l’émergence d’une nouvelle forme d’entreprenariat plus adapté
aux exigence de l’économie moderne
A partir de 1980
l’entreprenariat féminin s’affirmez de plus en plus et la percées des femmes
devint visible dans un secteur plus structuré seulement cet entreprenariat féminin est particulièrement orienté
vers les secteurs de commerce et des services les femmes investissent dans des domaines sans risques et au gain facile .
Le profil de la femme
entrepreneur tel qu’au ressort de
certaines études est celui d’une femme jeune ,enthousiaste, énergique
qui a la communication facile plus des
trois quartes d’entre elle sont diplômes
e-t la majorité baigne dans une culture familiale partenariale
Ces femmes en plus des contraintes et obstacles qui entravent
le développement et l’épanouissement de l’entrapparait en générale se trient
confrontées à des questions de genre qui s’expriment par leur caractère discrimination,
notamment quand le banquier demande des garanties masculines pour certaines
opération (emprunt, échât , location d’un ,local) que la femme entrepreneur
doit engager , quand l’autorité féminine est mal ou nom acceptée au quand la
dépendance à la famille entraver tout esprit de décision .
Or si l’entreprenariat féminin apparait comme une initiative délite,
il est également une réponse et une nouvelle alternative au chômage des crédits
de jeunes .la création de petites unités se développent des crédits de jeunes
promoteurs cherchent à subvenir à leur sont accordées comme pas vers
l’extension et la restructuration de l’entreprenariat féminin.
Mais il n’y a pas que les femmes diplômées qui prennent des
initiatives, les femmes rurales, illettrées, pauvres et sans formation se lancent
également dans différentes activités pur subvenir à leurs besoins et eux de
leurs familles. Les stratégies de débrouillardise entreprise pour les femmes
rurales émigrées en ville se multiplient. Certains réussissent, surtout quand ils
reçoivent une aide extérieur, d’autre demeurent insérées dans des activités
précaires qui sont vouées à l’anéantissement et à l’échec. Restent que ces
femmes émigrées recherchent tous les moyens, mettent à contribution toute leur
force de travail pour faire vivre leurs familles, éduquer leurs enfants, et se
frayer une place au sein de la société urbaine.
Dans ces provinces du nord du Maroc, Ces femmes trouvent leur
gagne-pain dans la pratique de contrebande, Parcourant quotidiennement de
longues distances, surchargées de lourds fardeaux, persécutées par les forces d’ordre,
elles tentent de faire de ce type de commerce un métier, provisoire certes,
mais dont les gains sont relativement bien assurés, Reste que ces femmes
laborieuses sont socialement déconsidérées, traitées avec familiarité et prises
pour des femmes à mœurs légères.
Le danger, la peur hantent leur vie, elles se résignent dans
le silence, attendant de fructifier leur capital, de terminer les traites pour
l’achat d’une maison, etc.. afin d’en finir avec ce travail ingrat.
Seulement, si ces initiatives d’ordre économique répondent à
un besoin de survie matérielle, d’autres initiatives d’ordre culturel
permettent aux femmes une survie morale, le maintien d’un équilibre
psychologique, l’affirmation de soi, comme c’est le cas d’écriture.
Aicha Belarbi