Les livres d’histoire rapportent timidement, sinon masquent totalement la contribution des femmes dans le mouvement de la résistance d’où la nécessité de reconstruire cette histoire à partir de témoignages de femmes ayant initiées des actions individuelles pour lutter contre l’occupant et qui avec l’indépendance sont tombées dans dans l’oubli.
Franchir le pas de la
porte pour une femme urbaine dans les années 1950 constituait une importante
initiative se déplacer d’un quartier à l’autre,
et d’une ville à l’autre est un accès à la liberté. Cacher et
transporter des armes, Faure circuler l’information être en contact direct avec
les hommes est une violation des attributions masculines. Maintenir le silence
sur ses activités et les groupes de contact est une dérogation à la protection
patriarcale se concerter avec la mari sur la distribution des taches domestique
et l’entretien des enfants est une nouvelle donne dans la vie du couple.
La femme résistante la citoyenne n’a peur ni de la mort, ni
de la torture au même titre que l’homme elle persévère dans l’action entreprise
pour la mener à son terme le mari, les enfants, la famille passent tout après
la libération de la nation reste que si l’histoire des femmes résistantes n’est
pas encore
A écrire et leurs initiatives non mises à jours elles font
toutefois partie de noterez patrimoine partie de notre patrimoine national
qu’il devient urgent de déterrer
Aicha Belarbi